Steven Spielberg est l'un des réalisateurs les plus importants de l'histoire du cinéma. Malgré son immense succès, il n'a jamais cessé de s'émerveiller de la magie du cinéma, comme lorsqu'il était petit garçon et qu'il filmait ses trains électriques avec la caméra de son papa.

Paru le 14 avril 2018 aux Editions A dos d'âne, dans la collection Des graines et des guides.
Ouvrage destiné aux 8-12 ans... et plus.
7€50

Illustré par Yoann Bomal (animateur 3D chez Illumination Mac Guff, et fondateur du site Apprendre Le Dessin).

INFORMATION IMPORTANTE
Il y a quelques mois, les Editions A dos d'âne ont été vendues. Les nouveaux responsables ont décidé de stopper la vente des ouvrages de la collection "Des graines et des guides" afin de les ressortir progressivement sous une nouvelle forme, enrichie d'un dossier pédagogique (une idée sur laquelle j'émets d'ailleurs des réserves). Sans nouvelle du sort réservé à Steven Spielberg, filmer avec des yeux d'enfant, j'ai décidé de racheter l'intégralité du stock. Je tiens tellement à ce beau projet, que je ne pouvais me résoudre à voir l'ouvrage disparaître. Conformément à mon contrat d'auteur, je pourrai les mettre en vente (par l'intermédiaire d'un tiers, ou via mon auto-entreprise) après avoir fait disparaître les mentions de l'éditeur.

Si vous souhaitez acquérir l'ouvrage, n'hésitez donc pas à me contacter !

Il explique Spielberg aux enfants, Courrier Picard, 4 avril 2018.

Cliquez ici pour télécharger l'article (PDF).
Cinématique Sans Toc, Radio Mercure, 10 avril 2018.
Emission spéciale Steven Spielberg.

Cliquez ici pour télécharger l'émission (M4A).
Et sinon, on lit quoi?, Cinemateaser, numéro 74, mai 2018.

Cliquez ici pour télécharger l'article (PDF).
Chronique sur le site L'Hebdo des notes bibliographiques, 22 mai 2018.

Cliquez ici pour télécharger l'article (PDF).
Rencontre-dédicace à la Cinémathèque Française, Paris, 1er juillet 2018.

Présentation de Indiana Jones et le temple maudit en salle Henri Langlois, et rencontre-dédidace à l'issue de la séance.

Séance de dédicaces au Salon du Livre et de la Presse Jeunesse , Montreuil,
1er décembre 2018.

Signature organisée par Les enfants de cinéma.

Rencontre à la Médiathèque Le Quatro à l'occasion de la Nuit de la lecture, Baud, 19 janvier 2019.

Dans le cadre de la sélection de l'ouvrage pour le Prix Facile à Lire Bretagne 2019.


Retrouvez le compte-rendu de la soirée sur le site de Ouest France
Rencontre à la Médiathèque de Betton, 9 mars 2019.

Dans le cadre de la sélection de l'ouvrage pour le Prix Facile à Lire Bretagne 2019.

Présentation du livre en avant-première à la Médiathèque Jean Moulin,
Margny-lès-Compiègne, 7 avril 2018.

Séance de dédicaces à la librairie jeunesse La Marelle, Beauvais, 5 mai 2018.

Critique sur le site Ecran et Toile, 12 mai 2018.

Passion Cinoche - Rencontre avec Vincent Baticle, Culotté(e)s Magazine, 14 mai 2018.

Comment Spielberg est-il devenu un célèbre cinéaste ?, Mon Quotidien, 30 mai 2018.

Farah, Ethan et Arthur, trois jeunes abonnés de Mon Quotidien, donnent leur
avis sur Steven Spielberg, filmer avec des yeux d'enfant...

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Chronique dans La Revue des livres pour enfants, Centre National de la Littérature pour la Jeunesse / Bibliothèque Nationale de France, numéro 302, septembre 2018.

Cliquez ici pour télécharger l'article (PDF).
Rencontre à la Médiathèque de Questembert, 2 février 2019.

Dans le cadre de la sélection de l'ouvrage pour le Prix Facile à Lire Bretagne 2019.

Conférence autour du thème "Spielberg et le polar", en lien avec le Festival Froid Polar organisé par l'IRIS Cinéma, puis discussion avec le public.

Rencontre à la Médiathèque René Petillon, Lesneven, 25 mai 2019.

Dans le cadre de la sélection de l'ouvrage pour le Prix Facile à Lire Bretagne 2019.



Retrouvez le compte-rendu de la journée sur le site du Télégramme
Participation à des ouvrages collectifs et des revues

Sales gosses contre voisins de l'enfer - L'art du décalage comique dans The'Burbs
Les Monstres de Mayfield Place, Frank LAFOND [dir.], Carlotta Films, 2016, pp. 111-129.

Ouvrage disponible dans le coffret ultra-collector The 'Burbs édité par Carlotta Films :

Quand les monstres regardent des dessins animés... - Joe Dante, ou la bâtardise érigée en principe de création
Dépasser le postmodernisme : la bâtardise comme horizon générique permanent (titre provisoire), Philippe ORTOLI [dir.].

Le cinéma de Joe Dante est un cinéma de genre(s) dont les limites s'étendent de l'horreur à la comédie, du fantastique au cartoon. A travers chacune de ses incursions dans un genre donné, le cinéaste développe une approche cinéphile ultra-référencée basée sur un dialogue permanent entre répétition et altération. La manière dont Hurlements joue avec l'histoire et les codes du film de loup-garou en constitue le parfait exemple. Joe Dante fait également dialoguer les différents genre entre eux et met en œuvre un principe de « bâtardise transgénérique ». Celui-ci apparaît très directement dans le rapport étroit que ses films entretiennent avec le cartoon.




The Handling of Time in Tim Burton's Feature-length Films
Tim Burton: A Cinema of Transformations, Gilles MENEGALDO [dir.], Montpellier : Presses Universitaires de La Méditerranée, Collection Profils Américains, 2018, pp. 245-257.

Tim Burton's cinema handles an ambiguous type of time where past, present and future seem to merge. Like tales beginning by "once upon a time", his movies are characterized by their atemporality. This is notably because of the way he uses cinephilic nostalgia, not as a pointless tribute to the past, but as a way to reactivate it through something new. Likewise, Burton's characters have to learn to deal with the weight of their past so as to forge ahead instead of getting stuck in the spiral of time...






Tu seras un père, mon fils - Figures paternelles et filiations cinématographiques dans le cinéma de Tim Burton
Tim Burton : Horreurs enfantines, Mélanie BOISSONNEAU, Bérénice BONHOMME et Adrienne BOUTANG [dir.], Paris : L'Harmattan, Collection Champs visuels, 2016, pp. 129-141.

Nombreux sont les personnages burtoniens qui, devant faire face à des relations familiales pour le moins difficiles, se réfugient dans l'extraordinaire de la fiction cinématographique. Ce nouveau modèle leur offre alors de se réinventer en devenant des créatures hybrides naviguant entre réalité et fiction, parent et enfant, créateur et créature. Ce processus se lit comme une mise en fiction du rapport qu'entretient le cinéma de Tim Burton avec celui de ses aînés - à la fois hommage cinéphile et relecture très personnelle (comme en témoignent notamment les rôles confiés à Vincent Price et Christopher Lee).

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Ceci est l'histoire d'un art marqué par les images d'un film - Itinéraires cinématographiques de La Jetée
L'Avant-scène cinéma, n°606 (Chris Marker), Octobre 2013, pp 18-22.

De même que La Jetée raconte « l'histoire d'un homme marqué par une image d'enfance », les images du film de Chris Marker exercent depuis plus d'un demi-siècle leur pouvoir de fascination sur les spectateurs qui y ont un jour posé les yeux. Parmi eux, des cinéastes qui, plus ou moins directement, ont situé leurs ouvres dans son prestigieux sillage. Ainsi, à l'instar des souvenirs qui refont surface lors de l'expérience du voyageur temporel, des images de La Jetée sont régulièrement appelées à sourdre dans l'œil et l'esprit des cinéphiles du monde entier.




Looney Bastards - Le film de genre à l'épreuve du cartoon
Glorious Bastards - In praise of cinematic bastardy, Sébastien LEFAIT et Philippe ORTOLI [dir.], Newcastle upon Tyne : Cambridge Scholars Publishing, 2012, pp. 211-218.

Née au tout début du XXe siècle, l'association entre le film d'animation et les prises de vues réelles est à la base d'œuvres majeures telles que Gertie The Dinosaur, les séries Alice Comedies et Out of the Inkwell, Mary Poppins, Qui veut la peau de Roger Rabbit ? et Les Looney Tunes passent à l'action. Lorsque les personnages réels rencontrent des personnages de cartoon, cette association prend une tournure toute particulière. Le cartoon se définit par une exagération stylistique (dont témoignent les corps agités, malléables et immortels de ses personnages) et par sa folie (la recherche de l'effet comique y primant sur tout schéma narratif). Anarchique, iconoclaste et destructeur, il emporte dans son tourbillon les formes qui s'en approchent. Ainsi, de même que le détective privé Eddie Valiant se laisse entraîner par Roger Rabbit dans une folle aventure, Qui veut la peau de Roger Rabbit ? est un film noir qui se laisse aspirer par le cartoon... et qui engendre un improbable « cartoon noir ».


A travers le petit écran : de la citation à la reprise - « Réalisation » des images télévisées dans le cinéma hollywoodien des années 80 et 90
Cinéma et audiovisuel se réfléchissent, François AMY DE LA BRETEQUE, Emmanuelle ANDRE, François JOST, Raphaëlle MOINE, Guillaume SOULEZ et Jean-Philippe TRIAS [dir.], Paris : L'Harmattan, Collection Champs visuels, 2012, pp. 201-209.

La génération des movie brats (jeunes cinéastes formés à l'école de la cinéphilie), qui éclot à Hollywood à la fin des années 1970 et au début des années 1980, développe un cinéma extrêmement référencé. Les films de Robert Zemeckis, Joe Dante ou encore Steven Spielberg - figure emblématique, à la fois en tant que réalisateur et producteur - sont représentatifs de la production des années 80 et 90, qui considère avant tout le monde à l'aune de ses représentations cinématographiques préexistantes. Aussi mettent-ils régulièrement en scène des personnages dont le rapport au monde se construit au contact de la télévision. Si celle-ci est la source de l'horreur dans Poltergeist et La Quatrième dimension, le film, elle guide la découverte du monde et les aventures des héros de Gremlins, E.T., l'extraterrestre, et Les Goonies.

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Invasion of the Movie Snatchers - Expériences transfilmiques du cinéma cinéphile de Joe Dante
L'Ecran-Palimpseste, Les Cahiers du Littoral, I/N°12, Bénédicte BREMARD, Julie MICHOT, Marc ROLLAND et Carl VETTERS [dir.], Aachen : Shaker Verlag GmbH, 2011, pp. 317-329.

Réintégrations de figures cinématographiques, relectures stylistiques, auto-références, collages d'images préexistantes, mises en abyme, interrogations métafilmiques... l'oeuvre de Joe Dante est le lieu d'expériences réflexives ininterrompues. Le cinéma y est considéré comme un ensemble homogène au sein duquel tous les déplacements (génériques, historiques, etc.) semblent possibles. De même que héros de ses films entretiennent un rapport étroit à la fiction cinématographique, les créatures qu'ils rencontrent revendiquent leurs origines fictionnelles, et la volonté de soumettre la réalité à la fiction. Joe Dante, à l'image des principaux cinéastes Hollywoodiens des années 80 et 90, pousse ainsi constamment le spectateur à interroger sa relation aux images.

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Un dernier plan et voilà - Les films chantés de Vincent Delerm
L'Intertextualité lyrique, Recyclages littéraires et cinématographiques opérés par la chanson, Jean-Philippe URY-PETESCH [dir.], Rosières-en-Haye : Camion Blanc, 2010, pp. 186-207.

Le répertoire de Vincent Delerm est hanté par le cinéma. Jouant avec la culture cinématographique de ses auditeurs, l'artiste utilise la puissance d'évocation du Septième Art. De François Truffaut à Woody Allen, en passant par Nanni Moretti, les références au coeur de son écriture témoignent d'un rapport au monde médiatisé par l'art et d'un processus d'imitation liant fiction et réel. Au-delà du jeu intertextuel, c'est le style même de Vincent Delerm qui possède une dimension cinématographique, proposant moins des histoires que des ambiances, des images s'adressant directement à notre imaginaire visuel.



La valse de la mémoire - « Un menuisier dansait » par Serge Reggiani
L'Intertextualité lyrique, Recyclages littéraires et cinématographiques opérés par la chanson, Jean-Philippe URY-PETESCH [dir.], Rosières-en-Haye : Camion Blanc, 2010, pp. 172-185.

Vingt ans après avoir incarné le petit charpentier de Casque d'Or, Serge Reggiani chante le film de Jacques Becker. Dans « Un Menuisier dansait », il réécrit l'impossible amour de Marie et Manda et, se posant en spectateur de son propre passé de comédien, interroge la troublante confusion entre l'acteur et son personnage. Hommage à l'éternelle beauté de Simone Signoret, la chanson met en avant la dimension mythologique et la puissance mémorielle du cinéma, art de l'incessant retour de la vie et de la mort. Poétique, historique et critique, « Un Menuisier dansait » témoigne du fait que la chanson sait parfois se faire mémoire et miroir du cinéma.






Revue de cinéma en ligne Acmé
Acmé n°1 (Automne 2008)

Co-direction du dossier Contes, croyances et technologies, consacré à Robert Zemeckis.
Rédaction de l'article Fausses machines, vrais effets, consacré aux films de Robert Zemeckis.
Rédaction de l'article Charlie s'en va-t-en guerre, consacré au film La Guerre selon Charlie Wilson.

Cliquez ici pour télécharger Acmé n°1 (PDF - 40 Mo).

Acmé n°2 (Printemps 2009)

Rédaction de l'article Ce n'est pas au vieux singe... - 1990-2003 : dernière carrière de Charlton Heston.
Rédaction de l'article Heston par lui-même.
Rédaction de l'article Super-hero show, consacré au film Iron Man.

Cliquez ici pour télécharger Acmé n°2 (PDF - 38 Mo).

Acmé Hors série n°1 (Eté 2009) - Spécial L'étrange Histoire de Benjamin Button

Direction du dossier et supervision du hors-série.
Rédaction de l'article Il était une fois... mais ne sera plus jamais.

Cliquez ici pour télécharger Acmé Hors série n°1 (PDF - 14 Mo).

Acmé n°3 (Automne 2009)

Rédaction de l'article L'image ou la mort - Politique et médias, consacré aux films Frost/Nixon et Silver City.

Cliquez ici pour télécharger Acmé n°3 (PDF - 45 Mo).


Acmé n°3 (Automne 2009) - « Les dossiers d'Acmé » : René Clément, De l'autre côté du miroir

Rédaction de l'article Clément par lui-même - Portrait d'un homme en cinéaste.

Cliquez ici pour télécharger Acmé n°3 - « Les dossiers d'Acmé » (PDF - 33 Mo).


Acmé Hors série n°2 (Automne 2009) - Michael Jackson, un rêve de cinéma

Co-direction du dossier et supervision du hors-série.
Rédaction de l'article Le danseur aux mille visages.
Co-rédaction de l'article This is it - « Voilà pourquoi on fait des répétitions... ».

Cliquez ici pour télécharger Acmé Hors série n°2 (PDF - 27 Mo).

Acmé n°5 (Printemps 2010)

Co-supervision du numéro.
Rédaction de l'article Jim Carrey : True Man Show.

Cliquez ici pour télécharger Acmé n°5 (PDF - 31 Mo).

Acmé n°6 (Eté 2010)

Rédaction de l'article Si les mentons pouvaient tuer... - His name is Bruce, consacré à l'acteur Bruce Campbell.

Cliquez ici pour télécharger Acmé n°6 (PDF - 48 Mo).





Articles publiés sur Internet
A Tom Cruise, rien d'impossible (A propos de Edge of Tomorrow de Doug Liman)
Feux Croisés, Dossier spécial Tom Cruise, 30 août 2015.

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Adam West, le chevalier en couleurs (à propos du Batman de Leslie H. Martinson)
Feux Croisés, Dossier spécial Batman, 20 juillet 2012.

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